une demande [PV le directeur et Eliot.]

Ritsuka et Eliot c'étaient mis en route. Ritsuka était impatient de rencontrer el directeur de l'Academy et bien sur de voir à quoi ressemble sa chambre dans le pavillon du Soleil... Et bien sur éspérait que le directeur allait bien vouloir , lui laisser aller voir sa demi-soeur Elsa à l'infirmerie. Il était impressionné par l'Académie qui était gigantesque, mais comme d'habitude , le jeune garçon , vêtu de l'uniforme de la Day Class et portant des oreilles et une queue de chat, ne représentait aucune émotion sur son visage, il restait indifférant. Il n'avait pas peur d'aller voir le directeur dans cette tenu la... Il se demandait même pourquoi en avoir peur? ce n'est qu'une tenu.
Arrivé devant le bureau du directeur , Ritsuka toqua à la porte puis entra, Eliot le suivit. Dès qu'il était à l'interieur du bureau Ritsuka se présenta:

"Bonjours, je m'appelle Kamatani Ritsuka , je suis éléve de la Day Class et je veins d'arriver. Je suis le demi-frère de Klain Elsa. Et je trouve votre idée de faire une Academie, de vampires et hummains mélangés géniale."

Ritsuka lui dit sa sans augmenter le ton de sa voix, ni le dessendre, il le dit tout simplemnt comme si il réssitait un texte. Il enleva ces mèches de son visage pour mieux vior le directeur .

¤Ah,cet à ça que ressemble le directeur de cet Academie...¤ pensa-t-il.

Kaien Cross, Directeur de l'academie Cross. C'est ce qu'il pouvait lire sur le presse papier allongé sur lequel il faisait la poussière en chantonnant un air d'une chanson qu'il avait entendu quelques minutes avant. Il se laissa tomber sur sa chaise en poussant un long soupir ennuyé et le fit tourner sur lui même. Quelle belle invention les chaises tournantes! Il s'amusa ainsi jusqu'à en avoir des vertiges. Au bout d'un moment, alors qu'il se remettait les idées en place, quelqu'un toqua a sa porte et entrèrent 2 élèves, apparemment de la Day class. Il les accueillit avec un grand sourire scintillant accompagné d'un :




Bienvenue, je vous en pris asseyez vous. Que me vaut le privilège de votre visite messieurs?




Il but une gorgée de sa tasse de café encore un peu fumante puis les écouta.




Bonjours, je m'appelle Kamatani Ritsuka , je suis éléve de la Day Class et je veins d'arriver. Je suis le demi-frère de Klain Elsa. Et je trouve votre idée de faire une Academie, de vampires et humains mélangés géniale.





Ses lunettes glissèrent un bout de son nez, un ne bougea plus...resta figé...Puis tout a coup, il se pris la tete dans les mais en pleurant et hurlait a tue-tete:




HHHAAAAAEIIIINNNNNNNN?????????

TU ES AU COURANT???? mais c'était sencé etre tenu secreeeeet comment une information d'une telle importance a t'elle pu filtrer chez les day claaaaass???? ca va etre la panique!!! AAAAHHHHHHHH!!!!! YUUKIIIIIII ZEROOOOOO!!!!!!




Mais une phrase lancée par le 2e élève le fit taire et il le regarda bêtement a travers ses lunettes




Monsieur le Directeur...j'aimerais savoir si c'est possible que l'on entre dans le Pavillon Lunaire. Nous avons quelque chose à régler tous les deux, mais sans votre permission c'était impossible.





De nouveau il resta figé en le regardant comme si il descendait de la lune.





Hum...




Il reprit son sérieux en toussant dans le creux de sa main




Jeunes gens je pense que vous le savez, les day class n'ont pas le droit d'aller dans le pavillon de la lune excepté les gardiens. Vous n'etes pas les premiers a venir me demander une permissin, mais si je commence a autoriser des personnes a y entrer je vais en voir venir des centaines, et mes petits gardiens cheris n'ont pas que ca a faire...Vu que vous savez la raison pour laquelle cette mesure a été faite je pense que je n'ai pas besoin de vous expliquer pourquoi il m'est impossible d'accéder a votre requête...




Il termina sa phrase d'un ton quelque peu desinvolte qui voulais bien dire que la discutions était
terminée pour lui. Il attendait de vir pourquoi ces jeunes gens tenaient a aller dans le dortoir des vampires avant de continuer plus loin...il aviserai par la suite Il repris une gorgée de café sans tenir compte de l'agacement qu'il avait pu provoqué chez les 2garçons.

Eliot dit tout ce que Ritsuka allait dire. Mais le directeur étant étonné que Ritsuka sache le lourd secret de la Cross Academy , refusa la demnade d'aller dans le pavillon de la lune.

"je vois...dit Ritsuka en regardant dans le vide. Mais on m'a informé que l'infirmerie des Night Class se trouvait dans le pavillon de la lune...Je ne connais pas très bien les lieux ... On m'a peut-être mal informé...Mais j'ai besoin de voir ma soeur qui est bléssé et est à l'infirmerie et je sais que c'est le seul moment ou je peux lui parler...Je sais qu'elle me fuira d'elle que me verra, dès qu'elle sera guérie...Et je ne vois pas d'autre moyens pour lui parler...Il n'y a vrément aucune solution? Sinon , comme je vous l'ai dit je viens d'arriver ici donc je n'ai pas de chambre..."

Son visage ne changeait toujours pas d'expression et sa voix en faisait de même. Mais au fond de lui il fut quand même étonné de voir le directeur dans cette tenue... Il n'imaginais pas que le directeur de cette Academie allait ressembler à "ça"...

¤comment faire??pensa-t-il, j'ai vrément besoins de parler à ma soeure!¤

Pour une fois il montra ces sentiments et tappa contre le bureau du directeur... Mais s'excusa aussi tôt, et redevenut comme avant : indiferrant.

Cross regarda le jeune homme qui avait l'air le plus timide s'adresser de nouveau a lui:

"je vois...dit Ritsuka en regardant dans le vide. Mais on m'a informé que l'infirmerie des Night Class se trouvait dans le pavillon de la lune...Je ne connais pas très bien les lieux ... On m'a peut-être mal informé...Mais j'ai besoin de voir ma soeur qui est bléssé et est à l'infirmerie et je sais que c'est le seul moment ou je peux lui parler...Je sais qu'elle me fuira d'elle que me verra, dès qu'elle sera guérie...Et je ne vois pas d'autre moyens pour lui parler...Il n'y a vrément aucune solution? Sinon , comme je vous l'ai dit je viens d'arriver ici donc je n'ai pas de chambre..."


Puis il eu soudain un coup de sang et frappa dans le bureau. Le directeur s'effraya et poussa un cri en renversant son café sur son pull qu'il regarda par la suite d'un air dépité.
Le2e enchaine directement, le prenant de haut, et tenant des propos a propos de la night class qui ne lui plurent guère...Des qu'il vit un petit sourire au coin des lèvres du garçon, le sien s'estompa. Il le laissa finir, les yeux cachés derrière ses lunettes masquant l'expression de son visage, les doigts croises soutenant son menton, coudes sur le bureau. Un blanc s'installa. On pouvait y sentir toute la pression qui régnait suite a ce monologue dont l'élève semblait assez fier. Kaien inspira profondément et regarda le jeune homme qui avait eu la politesse de se présenter d'un ton assez enjoué comme on lui connaissait:

Jeune homme on vous a mal renseigner! L'infirmerie se trouve dans le bâtiment principal de l'académie...je ne sais pas qui a voulu vous faire une blague mais il vous a bien eu... Pour y accéder il suffit simplement de descendre les escaliers qui sont a gauche en sortant puis daller au fond a droite au rez de chaussée. Bon courage mon cher, prenez bien soin de votre soeur^^!


Il lui fit un signe de la main pour lui souhaiter bon courage et attendit qu'il sorte dans le couloir pour s'adresser a celui qui restait. Il n'attendit même pas que la porte soit fermé pour commencer. Il posa son regard sur le 2e qui était resté et lui dit lentement, d'un ton grave:


Vous concernant jeune homme...Vous soulevez un point intéressant, mais vous l'exploitez mal... En effet, Nous sommes les proies et se sont les prédateurs. Je m'étonne donc que vous n'ayez pas compris que c'est de VOTRE sécurité dont il s'agit. Je n'ai d'autorité que dans cette parti de l'académie. Les night class sont sous l'autorité de Kuran Kaname. Et si il décide de vous prendre en grippe, vous risquez de passer une tres...tres mauvaise année parmi nous...Les vampires peuvent agir dans les 2 dortoirs, certes, mais a la moindre infraction, ils savent que leur vie ne tiens qu'a un fil entre les mains des sangs purs qui protègent la paix de cet endroit...Et croyez moi, ils n'ont aucun scrupule a puni leurs condisciples. Aussi j'ai toute confiance en eux et je sais qu'ils ne feront rien qui ne nuise aux autres. En revanche...En vous entendant parler d'eux comme des « monstres » j'ai des doutes concernant vos intention. Un simple mot de travers devant l'un d'entre eux peu causer votre perte. Aussi devant votre manque de respect je vous interdit formellement l'entrée du pavillon de la lune.


Il termina sur un ton decidé. C'est comme si une toute autre personne était apparue pour dire ce monologue. Il repris soudain son air d'imbécile heureux en lui disant d'une voix fluide:


Oh et si il vous viens a l'esprit de divulguer ce secret, d'avance je vous conseille de préparer vos valises, car je ne tolérerai pas la moindre chose qui pourrait venir rompre la paix fragile qui règne ici. Et Le chef de dortoir Kuran est également d'accord sur ce point.


Il le regarda fixement dans les yeux sans ciller puis pris le téléphone dans la main en composant un numéro a 4 chiffres puis se retourna vers lui avec un air bete et un grand sourire:

Comment s'appelle l'ami a qui vous souhaitez parler deja? Je vais voir si il est disponible pour sortir du pavillon. Il me faudrait également votre nom.


Comme si rien ne s'était passé. Le directeur habituel était revenu, avec son air d'imbécile heureux. Il n'avait bien sur as l'intention d'etre désobligeant avec ses élèves mais une telle arrogance ne devait pas passer ainsi. Il attendit que le jeune homme réponde a sa question.

Jeune homme on vous a mal renseigner! L'infirmerie se trouve dans le bâtiment principal de l'académie...je ne sais pas qui a voulu vous faire une blague mais il vous a bien eu... Pour y accéder il suffit simplement de descendre les escaliers qui sont a gauche en sortant puis daller au fond a droite au rez de chaussée. Bon courage mon cher, prenez bien soin de votre soeur^^! me dit le directeure.

°comment ? alors ça ...°pensa Ritsuka la nouelle l'aviat unpeu choqué.

Le directeur lui fit signe de main pour lui souhaiter bon courage et lui montra la sortie. Ritsuka n'avait pas encore la clef de sa chmbre, et nevoulait pas quitter le bureau du directeur, mais fût obligé par politesse. Alors il sortit du bureau enattedant Eliot ,il pensa que lui et le directeur devaient avoir unediscution personnel et qu'il fallait miuex qu'il attende dehors.Mais il se sentait quand mêmeunpeu mis dehors,rejeté.
Au début il entendit des haussements de voix, puis sa s'est calmé, Alors il attendit encore un peu avantde reentredans le bureau et demander au directeur:

"Désolé de vous déranger encore une fois mais comme je vous l'ai dit je n'ai pas la clef de ma chambre..."

Le directeur avec encore son air d'imbécile heureux, immobile, le téléphone entre les mains quand le jeune homme éclata de rire. Il cessa de rire pour prendre un air interrogateur par rapport a sa réaction. Le jeune homme pris la parole:

-Vous êtes plus
drôle que je ne le pensais. Non mais vous vous rendez compte de
l'absurdité de vos paroles? Virez moi si l'envie vous viens, je sais
tout maintenant. J'ai confirmation que mon père est un vampire, c'est
tout ce que je voulais de cette académie. Alors allez-y, parler à
Kuran, demander lui de m'effacer la mémoire! Mais quand vous lui aurez
parler, je serait déjà loin.

Le directeur le regarda bete, pendant bien 30sec, aucun des deux ne bougea, se fixant l'un l'autre. Soudain, il posa le telephone sur la table, le combiné toujours a coté de sa base, comme pour ne pas perdre le fil de ce qu'il était en train de faire. Il se penchea derriere son bureau puis ouvrit ses tiroirs, comme si il cherchait quelque chose. Il gromelait pour lui meme des indications sur l'endroit ou pourrait etre l'objet de sa quete...Puis, il releva la tete avec un petit cri victorieux, regarda le jeune homme et d'un air desinvolte, braqua un revolver de bonne taille sur lui.

Sitot dit sitot fait mon cher

Et il appuya sur la gachette. La scene qui suivit fut d'une rare violence...La balle partit a une vitesse phenomenale droit entre les 2 yeux du garçon, le heurta mollement et tomba au sol en rebondissant. Les balles en mousses étaient en effet un des jouets favoris du directeur pour "avoir l'air cool". Des qu'il eut tiré et vu l'expression qu'affichait le jeune homme, il se mit a rire aux larmes de façon exagerée en se roulant sur son bureau et tapant des poings.

Haaahahahaaaa ce gage est vraiment un classique indemodable!!!HHHAAHAHAaaaaaa

Une petite voix venant de la porte le fit redevenir serieux.

"Désolé de vous déranger encore une fois mais comme je vous l'ai dit je n'ai pas la clef de ma chambre..."

Il profita de cette situation pour essayer d'ignorer la réaction qu'allait avoir le jeune homme orgueuilleux. Il s'adressa au petit timide avec un grand sourire:

HAAAaaaa gomen gomeeen j'avais oublié ce détail. Pouvez vous me dire si vous avez deja un numero de chambre jeune homme?

Ritsuka rentra dans la piece en regardant le directeur qui essayait de redevenir serieux. Le directeur s'adressa à Ritsuka:

HAAAaaaa gomen gomeeen j'avais oublié ce détail. Pouvez vous me dire si vous avez deja un numero de chambre jeune homme?

Ritsuka réfléchit un instant, puis répondit :

-Non on m'a rien donné, ni dit à propos de mon logement... A part d'aller voir le directuer de l'Academy... Alors je fut ce que l'on m'aviat dit.

Le sourire du directeur étonnait un peu Ritsuka ... Il n' avait jamais été dans des écoles car il avait suivis des cours à domicile, et d'après ses souvenirs, tous ses professeurs sans exceptions étaient serieux.

¤Peut-être que le directeurs sont differants ? pensa-t-il. Mais d'après mon résonnement, les directeurs ont le pouvoir sur les proffesseurs , alors ce qui voudrait dire qu'ils devraient être encore plus serieux non ?¤

Ritsuka n'y comprenait plus rien, alors il s'approcha d'Eliot et lui chuchota:

-Les directeurs sont tous joyeux, et non serieux, et portent des tenues aussi ...

Il ne finit pas sa phrase car il ne savait même pas que dire sur cette tenue, lui la plus part de ces proffesseurs, même tous portaient un smoking. Mais bon il était élevé dans une famille de riches alors c'était peut-être normal ? Ritsuka regardait le directeur en attendant ca réponse.

Le Directeur regarda une demi-minute le Day Class, bêtement. Puis le téléphone sonna mais le Doyen ne répondit pas, préférant chercher quelque chose dans son tiroir...Et quand il regarda Eliot avec un air un peu bizarre, il braquait déjà un révolver de calibre assez...gros.

Sitot dit sitot fait mon cher

Il appuya sur la gachette et une balle en mousse atterrit mollement entre les deux yeux du garçon. C'était quoi cette blague? Non...ce n,'était même pas une blague puisqu'elle n'était même pas drôle! Eliot devait avoir une expression assez comique parce que ce fut au tour du Directeur d'éclater de rire.

Haaahahahaaaa ce gage est vraiment un classique indemodable!!!HHHAAHAHAaaaaaa

Une veine battait sur son front, ce qui n'était décidément pas bon signe. Non mais c'était quoi ce Directeur? Ce n'était pas parce qu'Eliot est plus jeune que les autres lycéens qu'il doit être traiter d'une manière différente...Non en fait, si le Directeur le traitait comme ça, c'était surement à cause de son comportement, mais ce n'est ps grave...C'est alors que Ritsuki arriva de nouveau dans la pièce et demanda les clefs de sa chambre.

HAAAaaaa gomen gomeeen j'avais oublié ce détail. Pouvez vous me dire si vous avez deja un numero de chambre jeune homme?

-Non on m'a rien donné, ni dit à propos de mon logement... A part d'aller voir le directuer de l'Academy... Alors je fut ce que l'on m'aviat dit.

Puis le garçon aux oreilles de chat s'approcha d'Eliot et lui chuchota:

-Les directeurs sont tous joyeux, et non serieux, et portent des tenues aussi ...

Mais il ne finit pas sa phrase et le petit garçon en profita pour...donner un gros coup de poing sur le bureau du Doyen, le cassant en deux. Il regarda alors le Directeur avec un regard rempli de haine...pas que cela ne le change de d'habitude...Mais il pouvait se montrer très violent parfois...quand la colère commençait vraiment à être gênante en lui...

-Ne vous moquer pas de moi, monsieur le Directeur.