Premier cour...mais cour de quoi?

Invité

Il était furieux, furieux que personne ne soit venu à sa rencontre, furieux de n'avoir rencontre aucun vampire digne d'interret, furieux que le très cher directeur lui est formellement interdit de se frotter aux élèves de la Night Class. Si il était ici c'était uniquement sur l'ordre de la Glit et si son pitoiable cerveau ne lui jouait pas de tour celle-ci s'occupait de règler leur compte aux buveurs de sang. Alors pourquoi devait-il rester les bras croisés face à cette situation?

En attendant il devait laisser sa rage de coté paraitre drole, simpatique, amusant et affectueux. En bref à un humain qui a reçu de l'affection depuis son enfance. Or pour lui cela n'avait pas toujours été le cas, et la seul personne qui l'aimait réellement était morte sous ses yeux tuer par des vampires. Mais il considérait que les véritables assassin sde sa mère n'étaient autre que son père et sa belle-mère. Son père n'avait eu que ce qu'il méritait, c'est à dire la mort, tandis que son épouse se mourrait dans le chagrin avec sa progéniture, pourrie par l'argent et la facilité qui en découlait. Au cours de sa vie Richy avait remarquer combien les êtres vivants jouaient un double jeu en mentant aux autres et en se mentant soit même. Il jouait donc sur cette étrange coutme en parraissant ni trop faible, ni trop fort. Il savait combien il était essentiel de bien s'entourer et pour cela il fallait faire profil bas, du moins au tout début.

Cette tactique était vraiment pratique car elle s'appliquait dans toutes les situations. Ainsi donc, il parrut très ouvert et bien éduqué au professeur qui vient le chercher pour le laisser quelles minutes à la porte avant de lui dire d'entrer. Il obéit proptement et se donna un petit air réservé en se présentant.

"Bonjour. je m'apelle Richy Kimihiro. Je suis de nationalité anglo-japonaise et j'espère bien m'intégrer à cette classe. Heureux de vous rencontrer."

Il fit la révérance et enbrasa toute l'assemblée du regard avant d'aller s'installer au 4° rang et sortir ses affaires. Déjà certains papiers fusaient vers lui, pour lui demander d'ou il venait et ce qu'il faisait avant de venir ici.

Invité

Essouflée, elle était vraiment essouflée. Il était déjà 9h30 et elle venait tout juste de se rendre compte d'un gros et même d'un très très gros problème. Il faisait beau les oiseaux chantaient, jusque là aucun ennuis. Pourtant lorsqu'elle vit dans la cours des èlèves de la day class, elle se rapella qu'elle venait d'intégrer la cross Académy, et qu'aujourd'hui était son premier jour de classe. Pas encore tout à fait réveiller à ce moment là, son cerveau se mit alors en marche à une vitesse folle. C'était son premier jour de classe et le soleil était déjà bien haut dans le ciel, mais quelle heure était-il donc? Elle souleva ses couvertures et ses oreillers avant de trouver son réveil sous son lit. Durant son sommeil, ce dernier avait du sonner, mais elle pas réveiller pour un sous l'avait tout simplement fait voler dans la pièce. Elle prit alors quelques vètements potables, se coiffa rapidement, laissant ses cheveux libres, se lava vite fait la figure, fit son lit et partie en trombe de sa chambre sans prendre son petit déjeuner.

Maintenant elle détallait comme si sa vie en dépendait dans les couloirs du batiments réserver aux cours à la recherche de sa salle, oubliant par la même occasion qu'elle enfreignait une des règles de cet établissement. Pendant sa cavalcade, elle avait bouscoulé plusieurs élèves et s'était finalement retrouver devant sa salle en se rendant compte qu'il lui manquait son billet de retard. Exaspérée elle fit demi-tour et reparit en direction du secrétariat. Là elle attendit un long moment avant d'avoir l'objet de sa demande. Elle reprit denouveau sa course effreinée vers sa salle, en faisant un bruit pas possible, alors qu'elle pouvait être très silencieuse quand elle le voulait. Elle finit sa course en un dérapage, plus ou moins contrôlé, qui fit grincer les semelles de ses chaussures sur le carrelage, avant de frapper à la porte de sa classe. Elle n'attendit même pas la réponse entra et tendit le mot au professeur, mais professeur de quoi au fait? Pour l'instant ce n'était pas le plus important.

Rouge comme une tomate, elle se dirigea vers une place libre au premier rang en cherchant à reprendre de son souffle. Le cours commença et elle l'écouta en élève assitue qu'elle était. C'est alors qu'elle entendit une voie et tourna la tête.

"Il me semble qu'à une époque tu étais beaucoup plus discrète et endurante."

Elle ne pu s'empècher de pousser un cris de surprise teinté d'effrois. Devant elle se tenait un garçon aux yeux ambré qui semblant vouloir dire qu'il savait tout d'elle.

Invité

Il s'ennuyait ferme, comme jamais. Cooment pouvait-on rester aussi calme en sachant que des vampires se trouvaient à quelques pas de là. Une envie folle d'en tuer trois ou quatres le tarodait mais il devait rester le plus "normal" possible. Il suivait donc le cours avec une oreille attentive,alors qu'un individu, qu'il califia de mastodon, se précipitait dans le couloirs. Au bruit Richy était capable de dire que cette personne se trouvait de l'autre côté de la porte de la salle de cours. De nouveau les pas reprirent mais dans l'autre sens, l'individu s'éloignait. Il regardait alors un peu partout dans la classe du coin de l'oeil. Il s'avait qu'un ou plusieurs hunter du me^me age que lui s'y trouvait mais il n'arrivait pas à savoir lesquels des élèves obéhissaient à la gilte. Les bruits de pas revinrent alors avec plus d'intensité. Un bruit de cahouchou qui glisse sur le carrelage, fit comprendre à casiment toute la classe que la "mastodon" était de retour et ce trouvait être un des nouveaux élèves en retard. La porte s'ouffir et Richy senti en ses veines se glacer son sang et son souffle s'arreté.

Il ne pouvait pas le croire. Comment était-ce possible? Elle ne pouvait pas..... Et pourtant ses yeux ne le trompait pas. Devant lui une jeunne fille à tein pale et aux cheveux blonds, presque crême, d'au moins deux mêtres qui virevoltaient derrière elle lorsqu'elle se retourna. Elle portait un jean bleu foncé et une chemise blanche, elle n'était donc pas aller chercher son uniforme contrairement au reste de la classe, ou du moins une très grande parite de cette dernière. Mais ce fut lorsqu'il découvrit les yeux de la nouvelle arrivante qu'il fut certain de son diagnostique. Ces derniers étaient marrons rougeatres, seul une seule personne de qa connaissante possédait ses caractéristiques. Mais peut-être se trompait-il? Il descida alors de jouer au chat et à la souris. Involontèrement et par pure maladresse, bien entendu, soncrayon tomba et roula jusqu'au premier rang. Ilse leva alors et alla le ramasser. En se bessant aux côté de la blonde aux yeux rougeatres il prit alors la parole.

cette dernière tourna la te^te et poussa un cri type des proies face à l'arrivée brutale de leur prédateur. Cette réaction fit alors sourire le brun aux yeux ambrés. La lueur de stupéfaction et d'interrogation qui vibrait dans les yeux étranges de la fille, lui confirmait son idée.

"Ca faisait un baille que nous nous étions vu Puzzle. La dernière fois c'était en Angleterre il me semble? Comment va tu depuis tout ce temps? Bien j'espère."

Il fallait dire qu'ils avaient eu tout deux une histoire assez..... amusante en communpar le passé.

Invité

Ce devait-être un cauchemard, c'était pas possible qu'il se trouve dans sa classe. Merlin! sur toutes les écoles du monde il avait fallu qu'il se pointe dans celle-ci. Pourtant le regard ambré amusée, ce sourire si caractéristique ses dents blanches et ce visage angélique ne pouvait appaertenir qu'à lui. Richy Kimihiro, ex camarade de classe en Angleterre avant qu'elle ne quitte l'école pour.... Elle secoua la tête pour ne pas y pênser c'était du passé, il ne fallait pas en parler ni même s'enrapeller. Et pourtant ce dernier le rapellait à elle par la présence de Richy. Mais d'ailleur depuis quand s'appellaient-ils par leur prénoms?

Dans le passé, il y avait, pour faire très simple, ceci: ses amis, ceux qui lui pourrissait la vie et les autres. Dans ceux qui lui pourrisait la vie tronait Kimihiro. Bien que contrairement aux autres, il ne l'attaquait pas trop mais ces dernières allaient vraiment faire très mal. Puis il n'était plus venu en cours et elle avait vraiment espérer vivre en paix. lorsque ce dernier était revenu, il était me^me venu lui faire des excuses pour son comportement envers elle, certe pas devant les autres mais quand même.

Pourtant aujourd'hui me^me elle retrouvait le joueur, celui qui faisait tout pour gagner à son jeu favori, et cela l'inquiétait. Etre retourner dans son passé rien qu'un court instain avait ramené une parite d'elle qu'elle préférait ne jamais revoir. Et pourtant se fut avec un voix ferme et empreinte d'une certaine joie inattendue, et en même temps seche, qu'elle lui répondit.

-En effet ça fait très longtemps. Pas assez à mon gout mais tu me connais. Je suis assez etrange. Et toi comment va ta mère? Pas trop malade j'espère.

Elle avait bien comprit le menace qui pointait sous l'interrogation de Richy, ou du moins en avait perçu une, mais elle était d'escidée de ne pas ce laisser faire et surtout pas par lui. Il pouvait embobiner les autres comme il l'avait fait avec elle, mais plus elle. C'était finit ce petit jeu.

Assise dans un coin, discrète et silencieuse, sur une des neubreuses chaises bleues qui trainaient un peu partout dans la pièce, je regardai Mina arriver avec un petit sourire bête. Mon réveille matin branché une heure avant les cours, j'étais prête et bien préparée pour affronter mes nouveaux professeurs. J'étais même aller frapper à la porte de mon amie, après trente minute que j'étais debout, mais elle m'avait "répondu" d'un grognement, que je pris comme étant un son que produisait les gens quand il était réveillé.

Ça m'avait pris pas plus de dix minutes m'habiller, pas compliqué, j'avais pris l'uniforme de l'école; la chemise blanche lignée noire, une jupe plissé de la même couleur et un noeud rouge attaché - et replacé avec ma manie de perfectionniste - près du col. Ensuite, je m'étais attachée les cheveux en deux longues tresses françaises, partant du côté de ma tête., mais j'avais laissé pendre deux séductrices blondes légèrement frisées. Après avoir fini de me maquiller, qui signifiait pour moi un lavage de visage, une ombre à paupière dorée, une ligne brune au dessus des cils et un gloss rose foncé transparent, et qui avait pris tout au plus un quart d'heure, j'étais descendue déjeuner au réfectoire. Au menu : une orange bien juteuse, et une toast avec du beurre de cacahouètes dessus. Je ne pris rien à boire, ce qui était bien mon seul "hic" dans l'alimentation. Manger le tout me pris environs une vingtaine de minutes. Puis je remontai dans ma chambre pour me brosser les dents comme il le faut, et surtout comme le dentiste me l'avait montré, et me passer la soie dentaire. Quand je regardai sur ma montre assortie, mon premier cours n'était que dans 10 minutes.

Donc, j'avais pris mes coffres à crayon, un pour l'essentiel qui contenait mon pousse-mine, mon aiguisoire, ma colle, mes ciseaux et tout le tralala, et un autre, séparé en deux partit, pour des crayons de couleur et mon matériel de géométrie. J'avais aussi apporté mon agenda, encore vide d'écrit, et j'allai calmement chercher mon horaire. Après quelques seconde à l'avoir observé, je me dirigeai vers la porte et j'entrai. Le professeur me demanda qui j'étais, car c'était la première fois qu'il me voyait. Très gênée, et surout très maladroite avec mon japonais, je lui tendis une feuille que j'avais remplie avec mon nom, mon prénom, mon âge, mon sexe et quelques autres informations sur moi. L'enseignant ocha la tête et me pointa un place qui devait être vide lorsque que tous les élèves rentreraient, car pour l'instant, j'étais la seule.

En attendant, j'entrepris de réviser quelques notions de base de la langue du Japon. En tous cas, les étudiants parlaient très forts, mais mieux que dans mon ancienne école, où sacrer était rendu le quotidien. Puis, un garçon qui avait l'air tout a fait normal s'avança dans la salle. À voir sa démarche, il avait eu quelque au dos, même si c'était presqu'imperceptible.

"Bonjour. je m'apelle Richy Kimihiro. Je suis de nationalité anglo-japonaise et j'espère bien m'intégrer à cette classe. Heureux de vous rencontrer."

Et en plus de ne pas paraître trop imbu de sa personne, il était bien éduqué. Ah, si seulement tout le monde pouvait être comme ça, gentil et honnête, ce qu'il n,était peut-être pas. Puis, tout le monde arrêta de faire ce qu'il faisait, car les meubles tremblaient et des bruits de pas très fort "boumaient" dans le corridors. Je me demandai alors qui pouvait faire ça en marchant. En tout cas, la personne se déplaçait car on entendait plus rien, jusqu'au moment où elle revint. Et quelle fut ma surprise lorsque j'aperçu Mina ! Elle si réservée d'habitude... Je m'intérogeai alors sérieusement quant'à sa santé mentale d'aujourd'hui.

Quelque chose tomba et le même jeune homme que tantôt se dépêcha d'aller le ramasser, mais quelque chose en lui me disait que ce n'était pas sa principale raison et qu'il l'avait fait par exprès. Il se déplaça jusqu'à mon amie et l'aborda. Sa réaction pas très positive me mit la puce à l'oreille et je fermai les yeux pour me concentrer sur ce qu'il disait :

"Ca faisait un baille que nous nous étions vu Puzzle. La dernière fois c'était en
Angleterre il me semble? Comment va tu depuis tout ce temps? Bien j'espère."

* Puzzle ? Pourquoi un surnom stupide comme celui-là. Et comment se fait-il qu'il connait Mina ? *

"En effet ça fait très longtemps. Pas assez à mon gout mais tu me connais. Je suis assez etrange. Et toi comment va ta mère? Pas trop malade j'espère."

Leur conversation était ironique et semblait exister pour faire de la peine à l'autre. Je me levai et allai rejoindre Mina en ignorant parfaitement l'imbécile qui osait s'en prendre à quelqu'un qui comptait pour moi. Je fis en sorte qu'une de mes tresses "vole" jusqu'à la face de Richy comme un fouet.

- Vient Mina, il y a une place inoccupée à côté de moi.

Invité

Ce coup si, il ne l'avait pas vu venir. Sa fierté en prenait un sacré coups. Et d'un il avait été frappé et de deux par une fille. Un léger gémissement de douleur et de surprise sortit de ses lèvres. IL faisait d'énormes efforts pour ne pas paraître souffrir et regarda non pas avec haine et dédain mais avec intérêt la personne qui venait, sans le savoir, de le sortir de ce pétrin dans lequel il s'était fourré. A quoi s’attendait-il lorsqu’il avait abordé Mina ? Sûrement pas à la voir se dresser contre lui de cette manière en tout cas. Un cours instant avant que la fille arrive, il avait cru que…. Il regarda Mina avec un intérêt non dissimulé. Pour finalement reporter son regard ambré et ravageur sur cette fille. La façon qu’elle avait eu de le mettre à terre était assez rapide et précise. Cette dernière ne lui accordait aucun regard, sûrement trop en colère. Un léger sourire se fendit sur le visage du brun. Finalement cette année scolaire s’avérait intéressante. IL croisa alors le regard de Mina et comprit pourquoi cette fille avait réagit ainsi. Elles étaient donc amies. Quelle surprise ! Le sourire disparut très rapidement pour laisser place à un visage neutre et légèrement stupéfait.

« Pourquoi ? »

Pour toute réponse, Mina fit un signe de tête. Mais il détourna très vite le regard d’elle. Il ne voulait pas savoir, non il ne voulait rien savoir. Moins il en savait, mieux il se portait. C’était comme ça que ça marchait avec lui. Du moins avant qu’il ne la rencontre, il y a de cela plusieurs années. Cela lui rappelait, des souvenirs. La situation était inversée aujourd’hui. Maintenant c’était lui qui se retrouvait au pied du mur à demander des explications.

Un nouveau sourire apparu sur son visage d’ange. pas bougé de sa place. L’autre quant à elle semblait vouloir lui arracher les yeux. Son instinct de survie lui conseillait de ne pas trop s’y frotter.

« Tu sembles t'être fait une amie, Mina. Quelle chance. J’espère que cette amitié te portera loin, sincèrement. »

C’est alors que la réalité des choses s’imposa à lui. Rien n’était plus comme dans le passé. Mina, qui alors n’était qu’une faible, avait réussit à s’imposer et surtout à redonner sa confiance aux autres. Cela le soulageait de la voir ainsi. Mais en même temps il ne pouvait pas lui pardonner la référence à sa mère. Cette fillette savait pourtant qu’il était orphelin, tout comme elle par ailleurs. Il alla se rasoir après avoir observer du coin de l’œil Marianne qui tenta une nouvelle foie de le faire tomber mais cette foie il fit mieux que l’éviter, il para l’attaque et se rassit comme si de rien n’était. Il griffonna tout en surveillant très discrètement les faits et gestes du duo féminin. Une soupe au lait qui ne payait rien pour attendre et une véritable lionne. Plutôt intéressant comme duo de choc.

[ Juste, fait attention, tu n'es pas sensé toucher aux actions des autres. En passant, c'était juste une de mes tresses qui t'a "effleuré" le visage ^^ Et je ne suis pas une Hunter de la guilde et plustôt une amatrice qui essaie de se défendre contre les môchants ^^ ]

Invité

(ok pardon pour tout ça. En faite j'ai lu très vite et onc mal lu le mot tresse. Désolé je corrige sur le champ)

Invité

Sa réplique semblait avoir fait mouche, vu le silence qui s’était installé entre eux. Ils se dévisageaient lorsque surgit de nulle part Marianne qui vint lui porter main forte. Mina était très soulagée de voir son amie arrivée à son secours, car elle ne pouvait plus soutenir le regard de Richy. Mais en même temps elle était réellement apeurée de voir la situation tourner de cette manière. Dans le passé certaines personnes avaient attaqué sans ménagement ses amis pour l’atteindre, et elle savait que Richy pouvait être un de ceux-là quand il le voulait.

Si Marianne était juste venue remettre de l’ordre de manière aimable il n’y aurait pas eu de problème mais là. Richy avait reçu une « claque » aussi bien physiquement que mentalement. Il ne fit cependant aucun commentaire sur ce qui venait de se passer. Il était comme ça Richy, un être qui refusait toute faiblesse visible.

En voyant la scène, Mina pâlit de re-chef, et se leva prestement pour aller voir si tout allait bien. Mais ses pieds ne la portèrent qu’auprès de son amie qui semblait vouloir ne porter aucune attention au brun au regard ambré. Ce dernier sourit, d’un sourire qui fit parcourir un frisson sur toute sa colonne vertébrale. Inconsciemment elle se rapprocha davantage de Marianne comme pour y chercher du réconfort. Le regard du brun passa de l’une à l’autre et le sourire s’effaça. Les lèvres bougèrent mais le son était à peine audible. Mina voulu lui expliquer mais ce dernier avait déjà tourné la tête. Ce n’était vraiment pas la peine de se justifier.

« Tu sembles t’être fait une amie Mina. Quelle chance. J’espère que cette amitié te portera loin, sincèrement. »

Mina plongea son regard dans celui de Marianne juste après son départ. On pouvait y lire de la gratitude mais en même temps de la rage. Sentiment qui au passage, n’apparaissait quasiment jamais sur le visage de notre très tendre Mina. D’ailleurs comment pouvait-elle expliquer à son amie que……. Elle secoua plusieurs foies la tête. Valait mieux ne pas penser à cela pour l’instant. Elle se força à sourire de manière tendre, mais comme toujours cela se voyait sur son visage.

« Désolée de t’avoir déranger avec ça Marianne. »

Sa voie tremblait légèrement sous l’effort qu’elle faisait pour la contrôler. En réalité elle cherchait à ne pas sauter à la gorge de son amie aussi bien physiquement que verbalement, mais ça elle n’était pas sensée le savoir.

« Par contre promais moi, que si jamais cela venait à se reproduire, de ne surtout pas intervenir. »

Elle ne contait pas concéder aux supplications de son amie sur le sujet et cela se lisait sur son visage, tout comme le jugement de balance qui se passait dans sa tête. Comment sans trop alerter Marianne lui expliquer qu’elle venait pas ce malencontreux geste de se mettre en danger ? Par réflexe elle avait prit la main de son amie et la serrait très fort pour y chercher du soutient et du réconford.

[ C'est qui la soupe au lait ? Oo XD ]

« Pourquoi ? »

Je trouvais cette question idiote et très inaproprié, imprécise qui ne trouva pas de réponse, du moins, pas de ma part, en plus que l'intérrogation ne me semblait adressée. Je ne vis pas le signe de Mina faisait à Richy, ni son sourire sournois. La première fois que j'avais vu le garçon, j'avais eu une quand même pas si mauvaise impression de lui, avec ses bonnes manières. Mais maintenant, il avait osé touché à une de mes amies, et la seule pour l'instant de surcroit.

« Tu sembles t'être fait une amie, Mina. Quelle chance. J’espère que cette amitié te portera loin, sincèrement. »

Je n'étais pas capable de descerner s'il était sarcastique ou non, même si la deuxième hypothèse était peut-être vrai. Je m'en allai avec Mina, mais, maladroite comme je pouvais l'être, je trébuchai sur mon propre pied vers le Hunter. J'essayai de balbutier un "escuse moi, mais il riposta d'une manière peu polie. Je ne sais pas pourquoi, mais d'un réflexe incroyable, il me repoussa brûtalement sur le bureau d'à côté, qui recula dans un bruit attroce. Et le jeune homme eu le culot de se rasseoir comme si de rien n'était. Lui, il allait....

« Désolée de t’avoir déranger avec ça Marianne. »¸

Je me tournai alors vers elle et fit une moue exaspérée. Voilà, tout le monde disait aux autres merci, mais s'il-te-plait, ne t'en mêle plus. Enfin, elle ne me l'avait pas encore souffler, mais ça allait venir, je le "sentais".

« Par contre promais moi, que si jamais cela venait à se reproduire, de ne surtout pas intervenir. »

* Eh voilà ! *

Pensais-je avec un rire sarcastique intérieur. Je pliongeai mes yeux rendu mauve à cause de l'excitation actuelle dans ceux très bizarre de mon amie.

- Là, tu rêves. Je ne laisserai pas quelqu'un faire du mal à mes proches!

Dis-je fermement. Ma voie tremblait légèrement sous le coup de l'émotion. Je lançai un regard noir vers Kimihiro et me promis d'avoir un conversation avec lui, soit pour tout régler, soit pour mieux connaître la source du malentendu.

- Les Élèves, ça suffit. Maintenant, sortez votre manuel d'Art.

Je levai la tête vers le professeur qui nous fixai d'un air à la fois amusée et fâché. Je rougis et j'aurais voulu me cacher dans le fonc d'un trout. Je baissai un peu la tête, laissant mes mèches blondes ondulées masquer une partie de mon visage.

- Pour les nouveaux, je suis Matsikuro, Izahi Matsikuro. Et voici Kimihiro Richy, Aizawa Marianne et Quest Mina.

Oh la la ! C'était encore pire. Ma face rendu cramoisie par la gêne, et celles des deux autres, était observée par les étudiants. Je n'osais pas bouger.

* J'espère que je n'ai rien d'anormal ! *

Genre un bouton sur le nez ou une pustulle sur le menton. Au moins, j'étais excellente en Art Plastique... Je remarquai quel livre prennaient les élèves et constatai, avec très peu de joie, que je n'avais pas le mien, car c'était l'enseignant qui le remettait. Je me préparai mentalement pour me lever lorsque qu'un cahier apparu devant mon champ de vision. Je le pris en marmonnant un ''merci'' timide. Mina et Richy aussi en reçurent un. Je pris un stylo bleu et entrepris d'écrire mon nom avec une calligraphie irréprochable.

- Vous êtes arrivés pile au bon moment, nous commençons un nouveau proget : les Grottes de Lascaux. Sur cette feuille est écrit tout ce que vous devrez faire seul et en silence jusqu'èa ce que la cloche sonne.

Et il distribua la paperasse. Je lus les instructions.

" Proget : Grottes de Lascaux
* Faire une recherche de minimum une page.
* Faire des essaies de signes te représentant.
* Décrire pourquoi ces éléments.
* Tester les matériaux : papier kraft, sanguine, fusain, craie beige et/ou brune et peinture blanche.
* Faire le propre.
* Autoévaluation et évaluation du professeur. "

* Fastoche *

J'ouvris mon cahier et commençai l'introduction avec la recherche. J'avais déja une foule d'idée et les Grottes de Lascauz avaient été un sujet de recherche en français a mon ancienne école. (...) Et nous fîme cela tout le long de la période, jusqu'a temps que le "dring" nous délivre.

Je me levai et dirigeai vers Mina.

Invité

Les grottes de Lascaux et puis quoi encore ? Lui qui habituellement était très manuel n’avait plus envie de faire mumuse avec les matières. Il avait surtout envie de disparaître de la surface de la terre tellement il avait honte de son comportement. Là où Marianne excellait, lui arrivait en général à avoir tout juste la moyenne. Etre manuel re rimait pas forcement avec avoir la fibre artistique, et il savait parfaitement de quoi il parlait. Il était plutôt douer en tout ce qui était soudure et mécanique mais l’art…… ça c’était vraiment pas son truc. Il remercia cependant le professeur, de manière très aimable, lorsque celui-ci lui tendit son cahier. Il entreprit lui aussi d’écrire son nom sur le cahier avec sa petite écriture fine serrée et en italique mais au moment où il arriva à son nom de famille sa plume s’arrêta nette. Il releva la tête vers Mina qui s’était déjà plongée dans le travail. Ces cheveux blonds-crèmes reposaient délicatement sur le dossier de la chaise d’une manière finement calculée qui donnait l’impression d’être une pose naturelle. Une pointe d’envie le traversa. Mina avait toujours sut séparer travail avec vie privée contrairement à lui. Il décida de suivre son exemple et de se mettre à travailler sérieusement. Pourtant plusieurs foie, il leva les yeux pour observer les deux filles, Mina maladroite comme pas une renversa son pot de peinture, tandis que la fille prénommée Marianne était complètement emballée par ce projet d’art plastique et griffonnait comme une malade. Il croisa alors le regard du professeur qui semblait l’accuser. Richy ne pu s’empêcher de sourire gentiment mais avec une pointe d’arrogance dans son sourire.

*Oui mon cher je suis responsable de ne pas faire mon travail aussi bien que les autres. Mais à ma décharge cela ne sert à rien à par perdre son temps. Mais puisque je suis ici je m’y plie de bonne grâce.*

Voilà ce qu’on pouvait y lire si on connaissait bien Richy. Or ce n’était pas le cas, ainsi donc on y lisait plus du regret et de la soumission. Richy jubilait intérieurement, il était très fort à ce jeu là. Pour lui devenir le plus fort et le plus redouté était une question de survie et c’était à cause de cette façon de voir les choses qu’il avait prit de colère pousser violemment Marianne sans se retourner pour voir si tout allait bien pour lui. Maintenant il regrettait amèrement ce geste. Il avait entendu Mina demander à son amie de ne pas se mêler de cette affaire. Il s’agissait donc de quelqu’un de très particulier pour la blondinette aux yeux rougeâtres. Il avait remarqué que les yeux de la « sauveuse » avaient viré au mauve sous l’effet de cette émotion violente qu’était la colère. Et puis cette phrase était très explicite, il fallait faire attention à Marianne et aussi à Mina si on ne voulait pas avoir de problème.

Pendant cette heure de cours sa colère disparue peu à peu laissant la place au remord, sentiment quasi étranger pour Richy. Il rendit son travail qui selon son approximation valait à tout casser un 12. Il fit alors glisser son regard sur les autres élèves de la classe. Certains garçons dévoraient littéralement des yeux Mina qui semblait ne pas s’en rendre compte, cette façon de faire ne lui plaisait guère. Il l’avait déjà vu plusieurs années au paravent et cela lui donna un frisson. Ces garçons la regardaient comme un trophée de chasse, il réprimandait en lui une envie de se lever et de les frapper. Mina était à lui, c’était sa proie, sa chasse gardée. Des filles, quant à elles, la regardaient de biais et il s’en voulu car il savait que sa tentative d’approche avait quelque chose à avoir avec ça. Un garçon s’approcha furtivement de Mina mais disparu très vite lorsque vint la rejoindre Marianne. Un fait le frappa alors. Les personnages de ce duo étaient aux antipodes l’un de l’autre et pourtant cela semblait aller pour le mieux. Marianne par son caractère franc et son physique imposant symbolisait la force, tandis que Mina avec la blancheur de sa peau ses cheveux longs et très clairs et son caractère effacé représentait la fragilité. C’était cela qui ; il y a de cela plusieurs année avait poussé Richy à s’attaquer à elle, et puis était venu son accident et autre chose qu’il n’apprit que bien plus tard.

Le fait est que son orgueil en avait prit un coup et il n’osait pas bouger pendant que les deux filles se trouvaient dans la pièce. Il fit donc la discussion avec les autres élèves de la classe et finit par s’intégrer à un groupe assez désinvolte pour les cours du moins, en gros des gosses à papa version miniature.

Invité

« Projet : grotte de Lascaux
*faire une recherche de minimum une page
*faire des essaies de signes te représentant
*décrire pourquoi ces éléments
*tester les matériaux : papier kraft, sanguine, fusain, craie beige et /ou brune et peinture blanche.
*faire le propre
*auto évaluation et évaluation du professeur. »

Cela ne semblait pas trop difficile à première vue mais lors qu’arriva la deuxième étape, tout devint plus compliquer. Trouver des signes la représentant était assez difficile étant donner qu’elle ne savait pas comment elle était réellement. Elle opta donc pour la vision globale de l’Homme et choisit des symboles caractéristiques de ce dernier. Les étapes explicatives étaient très détaillées et complètes cependant elle aurait pu faire mieux si sa pensée n’avait pas été omnubilé par ce qui s’était passer plutôt. Elle s’était attendue à cette réaction de la part de Marianne mais pas aussi forte. Marianne était sa seule amie dans cet établissement, en tout cas pour le moment, même si elle savait qu’elle n’en aurait certainement pas d’autre, et elle voulait à tout prix la laisser or de cette histoire vieille comme le monde. Par contre le fait que Richy n’est rien fait l’inquiétait un peu, elle avait passé deux ou trois ans dans le même établissement et jamais il ne s’était comporter de cette manière.

La cloche sonna à son grand réconfort et Marianne vint la rejoindre. Cette dernière semblait moins en colère mais encore très furax. Mais après qui ? Après elle ? Après Richy ? Qu’importe. Le principal était qu’elle n’aille pas creuser trop profond dans son passé à elle et puis à Richy également. Ou était-il d’ailleurs celui là ? Elle fit le tour de la salle du regard pour le découvrir debout devant sa table à discuter avec d’autre. Discuter ? Cela la faisait rire intérieurement car elle savait qu’en réalité il ne faisait que les manipuler ces fils à papa bourrés de frics.

Le regard de Mina devint froid et cruel, ses yeux se plissèrent légèrement et ses lèvres se pincèrent d’elles même sans que Mina ne se rende compte de ce changement brutal qui s’opérait sur son visage. Elle crut percevoir une pointe d’inquiétude dans les yeux de Richy avant que les siens ne captent un mouvement à ses côtés. Elle avait complètement oublier la présence de Marianne. De cette dernière se dégageait de la colère, de l’interrogation et de la stupeur. Depuis toute petite Mina était très sensible à tout ce qui l’entourait, odeur, température, bruit, émotion…. Elle avait réussi à c’y faire sauf à ça, les émotions. Il y en avait trop et partout. C’était d’ailleurs cela qui l’avait intrigué le jour où elle avait rencontré Richy, il n’en avait aucune du moins aucunes qu’elle n’arrivait à détecter. Elle reprit son regard et son visage tendre très facilement comme si rien ne s’était passé. Y avait-il eu un air de dégout sur son petit visage plutôt ? Elle ne s’en souvenait déjà plus. Tout ce qui importait était la présence de Marianne à ses côtés.

« désolée Marianne, les choses devaient se passer autrement. »

Elle regarda de nouveau en direction de Richy qui cette foix si faisait semblant de ranger ces affaires. Elle l’indiqua du menton à son amie avant de reprendre la parole.

« ce n’est pas un mauvais bougre. Il est juste ………. différent. »

Quand son amie lui demanda dans quel sens elle répondit sans réfléchir : "un peu comme moi" et n’en dit pas plus.

« Attends un peu d’ac. »

Elle ne chercha pas la réponse et se dirigea droit vers Richy échangea quelque mots avec ce dernier et fit de grands gestes à Marianne comme quoi elle pouvait venir les rejoindre, avec un grand sourire pure et sincère sur le visage

Sujet: Re: Premier cour...mais cour de quoi? Mar 3 Mar 2009 - 17:40

[ Je passe mon tour, je veux voir qu'est-ce que vous allez vous dire avant Very Happy

]

Invité

(on échange nos rôles dans ce cas. Nos perso n'ont pas besoins de beaucoup se parler. le moins du moins.)

Il ne put réprimer le frisson qui le parcouru lorsqu’il croisa le regard de Mina, à ce moment précis. Ce regard, cette expression…. Tout cela ne ressemblait en rien à la petite et fragile Mina. Lesquelles foies où il l’avait vu dans cet état c’était après qu’elle soit sortit de sa léthargie. Plusieurs personnes furent alors envoyer à l’hôpital à cause de nombreux accidents plus ou moins importants qui se produirent juste après la première tentative de…. Hum. Il préférait ne pas s’en rappeler, trop de mauvais souvenirs pour chacun d’eux. La discussion avec les autres se finit très vite à son grand soulagement. Il avait sourit et répondu aimablement durant tout le blabla de ces comparses mais il les détestait au plus haut point. Il remarqua que le duo était toujours là et fit semblant de ranger ses affaires en écoutant attentivement ce qui se disait.

« … les choses devaient se passer autrement. »

Ca c’est ce qu’on pouvait dire. Il ne s’était pas du tout attendu à cette situation. Mina avait finalement réussi à se lier d’affection avec quelqu’un. Mais ce qui le fit couper sa respiration fut ce qu’il entendit juste après

« ce n’est pas un mauvais bougre. Il est juste ……. Différent »

* Ah bon. Première nouvelle. Et depuis quand je vous pris ? C’est ce monde qui ne tourne pas rond. Ce monde de …..*

« … un peu comme moi. »

Il crut alors s’étouffer en entendant ces mots. Depuis quand mettait-on les crabes avec les coquillages dans le même panier ? C’était du délire, du gros délire même. Il ne voulait en entendre plus. Cependant il du revenir à la réalité lorsqu’une main froide et douce se pausa délicatement sur son épaule. Rien ne l’obligeait à se retourner alors pourquoi le faisait-il ? Il regardait de son regard neutre, vide et rêveur. Le visage beau, fin, délicat, la peau fine et claire semblait douce au touché, une petite bouche, des yeux marron-rouge et de très longs cheveux d’un blond clair presque crème. Elle faisait penser à une poupée de cire pourtant le seul mot qui lui vint aux lèvres ne fut pas de cette idée.

« vampire. »

Il regretta tout de suite ce mot, malgré le fait qu’aucun de ses traits ne bougea d’un millimètre. Le visage de Mina ne changea pas pour autant, il y eut même un infime rire.

« Tu peux me traiter de ce que tu veux, je le mérite bien après tout. Je suis désolée d’avoir parler de ta mère de cette façon. »

« C’est tout. »

Pour beaucoup de monde cette phrase semblait glaciale mais pour lui cela signifiait que le sujet était clos et qu’il lui pardonnait. Il s’assit sur sa table et regarda par la fenêtre.

« Tu l’as connais depuis longtemps ? »

Un grand silence se fit. Les réponses à ses questions étaient claires. Cette fille avait :

-1 : une grande importance aux yeux de mina

-2 : sûrement subit la même chose

-3 : contrairement à mina surmonter ce problème.

Et puis le fait qu’il pose la question en sa présence signifiait également qu’il regrettait de l’avoir pousser. Mais ça bien sure il ne le dirait pas c’était au-dessus de ses forces.

Une surprise mêler de consternation se lut sur son visage au moment ou il remarqua que Mina faisait de grands gestes en direction de marianne. Il dut se pincer l’arrête du nez pour réprimer un mal de tête. Il avait depuis longtemps laisser tomber l’idée de comprendre Mina mais de temps à autre il tentait. Alors que quelles que minutes plutôt ils étaient à couteau tiré, maintenant ils étaient amis-amis. Marianne approchait dangereusement et il n’avait toujours pas pauser sa question.

« Je suppose que tu ne lui……… »

Il ne finit pas sa phrase tellement la réponse était évidente, de plus Marianne était déjà à leur côté. Il la détailla et confirma le danger qu’elle pouvait devenir si il ne jouait pas très finement. Lors de son détaillage il remarqua un repli au niveau d’une des manches et arrêta un long moment son regard dans les yeux de Marianne avant de revenir à Mina qui toussotait pour lui faire comprendre qu’il devait se calmer. Il ne contait pas décrocher les mâchoires et commencer la discussion.

Sujet: Re: Premier cour...mais cour de quoi? Jeu 5 Mar 2009 - 2:48

"Désolée Marianne, les choses devaient se passer autrement. Ce n’est pas un mauvais bougre. Il est juste ……… différent.... Un peu comme moi"

Ma première impression était que Mina essayait de protéger le garçon pour ne pas s'attrirer ses foudres. Ils semblaient se connaître depuis longtemps et ne pas vraiment s'aimer, mais pourtant, leurs échanges ne se faisaient pas seulement avec de la haine. Le jeune homme paraissait apprécier Mina de deux façons : physiquement et mentalement, ce qui me fit laisser s'échapper un léger rire ~~niaiseux et~~ discret. Je ne pensais pas que Richy soit un mauvais bougre, mais je n'étais pas fan de son comportement. Pour les différences, tout le monde en avait, et Richy comme Mina comme moi. Mais son "comme moi" n'était pas pleinement utile.

« Attends un peu d’ac. »

Alors je fis ce qu'elle me dit en la regardant travserser la salle de classe pour aller vers le Hunter. J'entendis un murmure qui disait "vampire", qui venait de quelque part d'imprécis dans la grande pièce. Je me crispai et touchai sans le savoir la cicatrice située dans mon coup maintenant visible que de très proche, ainsi que le pieux caché dans ma manche. Puis, la fillette me fit signe de la rejoindre, ce que je fis sans attendre. D'une démarche souple, mais parfois un peu branlante, comme si j'allais trébucher sur mes propres pied, je les atteignis sans avoir tomber. Le sourire presque serein de mon amie me fit douter un peu. Jouait-elle la comédie ou était-ce réellement le sentiment qu'elle éprouvait. Je jetai un coup d'oeil vers l'étudiant. Ils avaient l'air de s'être réconcillier réellement, ce qui me fit soupirer. Je me détendis sur le champs, laissant ma vraie nature apparaître ; une fille terriblement gênée. Bien que mon corps annonçait au grand public qu'il n'était pas faible, de mon attitude iradiait une timidité féroce.

- Heu, hum, je-je-je suis désolée, si-si-si tantôt je-je-je t'ai blè-blè-blessé. Je-je-je croyais que tu-tu-tu t'en prenais à-à-à Mina.

* Hum, visiblement, je bégaie encore.*

Pensais-je en m'asseoyant sur le bureau le plus proche, laissant mes jambes fines se balancer doucement. Je posai mes mains sur mes genous comme une petite enfant bien sage. J'observai le lycéen et le trouvai très bizarre. Il changeait de comportement du tac au tac, pour n'importe quoi. Je le vis s'attarder sur le pli qui ne voulait pas disparaitre sur ma chemise et je rougis. Bien que ce ne soit pas du tout une place plutôt intime, le fais de me faire détailler de même ne me plaisait pas énorméement. Je baisai mes yeux cyan sur le sol et sentis qu'on me fixait encore. Mes pupilles changèrent semsiblement de couleur, passant du turquoise clair au bleu vert plus foncé. Je replaçai mes longs cheveux, si on pouvait encore dire cela après avoir vu ceux de Mina, gracieusement entremêlés en de grosses tresses blond doré pâle derrière mon dos, puis j'entrepris de jouer nerveusement avec une de mes couttes avant, trop courtes ou rebelles pour rentrer dans mes peignures, en l'enroulant autour de mon doigt. Le silence pesant m'oppressait et je n'osais pas ouvrir la bouche pour le briser ainsi que prendre la parole en premier. Le toussotement de Mina me tira de mes pensées.

Invité

Elle avait fait semblant de ne pas entendre la question de Richy. Bien sur qu’elle n’avait rien dit à Marianne de son passé en Angleterre. Comment aurait-elle réagit en apprenant la vérité ? Sûrement mal. Mais le plus inquiétant était le fait que Richy s’y intéressait. Il n’allait quand même pas lui faire vivre l’enfer qu’elle avait vécu. Son amie se rejoignit et commença à parler. Dés cet instant mina comprit que son idée était une grave erreur. Marianne commença à bégueiller, cela n’était pas en sois inquiétant mais c’était en fait ce que cela signifiait. Sous son apparence de forte Marianne était très fragile et la personne qui se tenait assise sur son bureau en face de son amie adorait jouer avec le mental des autres. Richy ne décrocha pas les yeux de Marianne qui détourna le regard alors que celui là observait sa manche puis ces yeux avec intensité. Une manœuvre de diversion….. Pitié une manœuvre, n’importe quoi. Elle se racla la gorge mais sans succès alors elle toussa. Une légère réaction de Marianne et de Richy. C’était au moins ça. Par contre les yeux de Marianne avaient prit une teinte assez foncée ce qui alarma d’avantage Mina, tout ce qui sortait de la normale rendait de très mauvaise humeur Richy. Elle était très bien placer pour le savoir. L’inconvénient avec lui était que leur relation était assez ambiguë. En effet en un tourde main il passait du mode ami-ami au mode chasseur-chassé, sans prévenir. Le mode ami-ami avait prit beaucoup de temps avant de voir le jour mais il était encore très fragile. Et maintenant que Marianne faisait partit de son entourage.

Richy avait reprit sa surveillance ce qui ne lui plu pas du tout. Elle passa entre Marianne et ce dernier sans que son amie ne se doute du regard ce qu’elle faisait en pendant ce temps. Elle décocha au hunter un regard des plus noirs plein de sous-entendus et lui montra les dents, si elle avait était un animal, elle aurait prit l’apparence d’un loup ou d’une panthère. Cependant sa voie ne changea pas d’un iota et resta aussi douce et limpide que d’ordinaire.

*Attention à ce que tu vas faire et dire. Car je te jure que je n’aurais aucun regret. Je suis presque guéris à présent mais une ou deux séances supplémentaires ne me dérangeront en rien. As toi de voir si tu veux essayer.*

Elle alla s’asseoir près de la fenêtre. L’air était frais et léger, cela lui faisait le plus grand bien. Son visage avait depuis longtemps reprit cet air ouvert et aimant qu’il avait habituellement.

« Tu n’as nullement besoin de t’excuser marianne. Ce grand benêt n’a aucune intention de faire de même. Au fait Richy, comment ce fait-il que tu sois ici ? »

Invité

Ces yeux. Ce ne pouvait pas être une erreur la première foix. Ils changeaient de couleur. Il en était sur à présent. Mina n’avait rien dit, il était donc revenu vers Marianne jusqu’à ce que la blondinette aux yeux rougeâtres passe dans son champ de vision. Il s’était légèrement pencher en avant prêt à attaquer et avait crisper sa main droite sur le rebord de la table. De sa place Marianne ne pouvait la voir ni le deviner étant donner que l’expression de son visage n’avait en rien changer. Par contre la façon d’on le devisageait mina le fit re venir à sa place. Etrangement les rôles avaient été inversés. En ce moment c’était lui la proie. C’était comme s’il repartait à reculons vers un lieu sur. Ce n’était pas la première fois qu’il voyait ce regard chez Mina et il savait que s’il lui répondait cela finirait en baston où aucun des deux ne gagnerait. Le lien qui les unissait était assez bizarre. La première fois qu’il l’avait vu une haine une haine violente était née. Des yeux de vampires, une nouvelle espèce qui jouait la gentille et douce jeune fille qui n’avait nullement besoin de boire de sang. Dés lors il lui avait littéralement pourrit l’existence même bien longtemps après avoir découvert qu’il ne s’agissait que d’un être humain. Trop de différence avec les autres, des cheveux crèmes qui descendaient jusqu’aux genoux, une douceur et tendresse trop débordante, une salle manie de garder tout pour sois et de ne vouloir déranger personne……. Et puis vint le jour où…….. La vache pourquoi n’arrivait-il pas à l’accepter c’était pourtant évident. C’était elle qui l’avait sauvé. Alors qu’il combattait un vampire qui pénétrait les pensées, celui si avait été pris au piège. Son esprit était complètement embrouillé pourtant c’était l’image si nette et lumineuse de cette fille qui lui avait montré le chemin de la sortie. Trop affaiblit, il avait cherché à continuer la combat et était tomber du cinquième étage. A partir de ce moment il n’avait plus de souvenir jusqu’à son réveil sur un lit d’hôpital. Lorsqu’il revint à l’école ce n’était plus la même. C’était alors à partir de ce moment qu’un lien étroit apparu entre eux.

Mais maintenant, Son humeur était plutôt mauvaise. Devait-il répondre ou non.

« L’apprentie médium m’a demandé de veiller sur toi. J’ai donc sauté dans le premier avion sans prévenir ma famille et je suis arrivé dans cette école. Et toi Marianne ? Tu as de la famille ? Tu as une bien jolie particularité. Depuis ta naissance je suppose. »

Il entendit Mina aboyer son nom et nom son prénom, Ainsi donc elle surveillait, ce n’était pas une blague. Elle était vraiment entrain de protéger son amie, comme c’était touchant. Il regarda dans sa direction sans pour autant tourner la tête. Mina semblait surprise et en même temps en colère. Finalement il aimait bien cette personnalité. On pouvait lire en elle comme dans un livre. Il se leva et prit le menton de Marianne, sans pour autant lui faire mal, afin que leur regard se croise.

« Tu t’en es mieux sortie, on dirait. Finalement tu n’es pas aussi terrifiante que tu en as l’air. Dis moi, comment ce fait-il que tu caches un minuscule pieux dans ta manche ?»

Une douleur se fit alors sentir sur sa joue. Il tâtait le terrain pour l’instant. Autant ne pas réagir, cela risquait de le compromettre et de révéler son identité de hunter.

Sujet: Re: Premier cour...mais cour de quoi? Ven 6 Mar 2009 - 18:06

« L’apprentie médium m’a demandé de veiller sur toi. J’ai donc sauté dans le premier avion sans prévenir ma famille et je suis arrivé dans cette école. Et toi Marianne ? Tu as de la famille ? Tu as une bien jolie particularité. Depuis ta naissance je suppose. »

* Hein ? Mais de quoi parle-t-il ? *

En fait, c'est la partie "apprentie médium" qui me fit réagir. Un QUOI ?!? Après tout, ce n'est peut-être pas si extraordinaire que ça, avec tous ces Vampires qui traînent... Une porte entre les deux mondes, ce n'est pas si pire que ça... Mais pourquoi la protéger s'il l'haïssait ? Enfin, ils se connaissaient depuis longtemps et semblaient en connaître long l'un de l'autre. Donc, si Mina ne m'en avait pas parlé, c'était qu'elle préférait le garder pour elle, ce que je préférais largement à mentir. Finalement, je me rendis compte qu'il s'adressait à moi, ce qui me sorti de mes pensées. Première question : pas compliqué. Deuxième : Heu... Il parle de mes yeux, là ?

- Heu, oui, heu, j'i-j'i-j'imagine.

Dis-je en hésitant. Oui, j'avais cette curieuse pigmentation sur mes iris, mais je ne savais pas où est-ce que j'avais pris cela, pas dans ma famille, ça c'est sûr... Ma mère avait les yeux bleu profond et mon père les avait noirs, puisqu'il était d'ici. D'ailleurs, c'est pour ça que les miens avaient une légère forme d'amande. Mes parents avaient souvent cherché qu'est-ce qui provoquait cela, mais ils n'ont rien trouvés à part quelques hypothèses par-ci par-là, toutes aussi farfelues. Richy était très observateur, et-

- Hiiiiiiiii

* Non, mais pour qui il se prend celui-là ? *

« Tu t’en es mieux sortie, on dirait. Finalement tu n’es pas aussi terrifiante que tu en as l’air. Dis moi, comment ce fait-il que tu caches un minuscule pieux dans ta manche ?»

Non, mais, c'est qui lui pour me prendre le menton ainsi ? Et, et remarquer que j'ai un pieu dans ma manche ? Hein ? Il L'a remarqué !?! Je me crispai sur la table, les jointures blanchis par la force exercée sur le bois. Je le fusillai du regard et me dégageai brusquement, en l'accrochant au visage sur sa joue droite. Il y avait une petite plaque rougeâtre où je lui avais donné un minuscule coup. Il avait deux possibilités à sa ça, ou même trois, mais ça m'étonnerait. Soit il était un Vampire, soit il était un... heu... chasseur ?, ou il était un humain aux sens aux aguets et très détailleurs. Biensûr, je favorisais le choix deux ou trois, mais j'aurais énormément aprécié qu'il n'en dise rien. Je jetai un coup d'oeil à mon amie, avec un peu de crainte mélanger à un gros point d'intérrogation. Mina savait pour ma mésaventure, même si elle n'avait pas tout compris. Je disais toujours la vérité, ou je ne parlais pas.

- Ça sert à exécuter les vieux crétins comme toi, qui me cherche trop longtemps et qui finissent malheureusement par me trouver de mauvaise humeur.

Dis-je d'une voix dure qui m'était peu connue, et sans bégayer une seule fois. Je n'étais pas de très bonne humeur en ce moment et avait envie de frapper quelqu'un, comme l'idiot devant moi. Il voulait jouer à son petit jeu ? Et bien, moi aussi je pouvais y jouer...

- Et toi, pourquoi as-tu une démarche un peu "tiré". J'espère que ce n'est pas dû à quelques cicatrices dans ton dos.

Mon ton était devenu glacial, presque menaçant. Il n'était pas obligé de répondre, mais c'était un avertissement. Tu arrêtes de nous embêter, et j'arrête de te gosser.

Invité

« Kimihiro ! Ca suffit à présent ! Arrête ce petit jeu. »

Mina s’était redressée prête à bondir mais Marianne fut plus rapide qu’elle. Richy se retrouvait à présent avec une marque rouge sur la joue et semblait s’en amusé.

-Et toi, pourquoi as-tu une démarche un peu « tiré ». J’espère que ce n’est pas dû à quelques cicatrices dans ton dos.

« Suffit, tous les deux. Vous m’agacez à la fin. Ca va durer encore longtemps ce comportement puéril. Même des gamins savent mieux se tenir en société. »

Elle était vraiment furieuse, il fallait qu’elle frappe n’importe quoi du moment ou ça la calmerait. Elle savait que tant qu’elle était consciente elle pouvait encore se contrôler. Mais cela allait durer pendant combien de temps ? Ce fut le bureau situé à proximité qui en fit les frais. Quand elle avait demandé à Marianne de les rejoindre, jamais elle n’avait imaginé que Richy irait directement à l’attaque. De nombreuses questions défilaient dans sa tête.

*Pourquoi il souriait cet imbécile ? Pourquoi Marianne et elle s’étaient liées d’affection aussi rapidement ? Pourquoi, pourquoi ? Pourquoi était-elle venue ici ? Par l’apprenti médium Richy entendait Yaya, son amie, ou alors sa demie-sœur ? Comment pouvait-il savoir dans quel établissement elle se trouvait ? Etait-ce réellement un hasard ?*

Le rouge de ses yeux ressortait à présent, tandis que sur son visage se lisait l’incompréhension, la haine et le dégoût. De rares élèves encore présents dans la classe la regardaient complètement hébétés, stupéfaits de voir la ‘ petite sainte’ sortir de ses gons. L’un d’eux en fit les frais, le pauvre était un peu pale et légèrement plus faible que les autres. Elle l’insulta avec fièvre trop furax pour voir qu’au final elle l’avait suivit jusqu’à la porte de la salle avant de revenir vers les deux autres. Richy ne souriait plus, son visage semblait tendu et sa mâchoire crispée, ses sourcils étaient froncés tandis que ses yeux habituellement vide reflétait une inquiétude. Ce fut ce regard qui lui donna l’impression de recevoir un sceau d’eau froide. Richy était quelqu’un d’indifférent aux autres, le fait que l’inquiétude pour autrui se lise dans son regard était vraiment inquiétant.

« Quoi ? »

Son ton était plus calme mais toujours aussi furieux. Et dire qu’elle voulait passer inaperçu pour son premier jour de classe, c’était loupé. Que devait-elle faire ? Et ses cheveux qui lui tombaient devant les yeux ? Comme elle révait de les couper ceux là.

Cette pensée l’alarma. Si elle voulait les couper cela ne signifiait qu’une chose, qu’elle replongeait. Elle s’assit au premier bureau, renversa sa tête en arrière, ferma les yeux et ne se concentra que sur sa respiration. Son cœur se calmait peu à peu la rassurant. Une main froide se posa sur son front lui faisant ouvrir les yeux. Marianne et Richy étaient penchés près d’elle même si ce dernier était beaucoup plus en retrait par rapport à son amie. A qui appartenait la main ? Elle n’en savait trop rien et s’en fichait. Cette main permettait de la ramener dans le monde réel. Elle entendait qu’on lui demandait i ça allait. Elle sourit tristement mais tendrement et réussissant à un peu articuler.

« …..couper….. »

Elle chercha à se relever mais n’y arriva pas. Le choc avait été trop important.

Invité

Ainsi donc cette fille avait remarqué qu’il traînait un peu de la patte. Si elle voulait voir son dos elle n’avait cas le demandé. Il souriait car il savait que si jamais il lui montrait comme ça sans prévenir, elle risquait d’avoir une syncope. Malheureusement pour lui Mina en avait décidé autrement.

« Suffit tous les deux, vous m’agacez à la fin. Ca va durer encore longtemps ce comportement puéril. Même des gamins savent mieux se tenir en société. »

La voix partait dans les aiguës ce qui alerta Richy. Cette foie Mina était vraiment folle de rage d’ailleurs le bureau situé juste à côté d’elle subit un immense coup de poing et faillit même se faire renverser. Il entendit des chuchotements et regarda autour d’eux. Des élèves s’étaient rassemblés et les regardaient en colportant des ragots. Un élève eu le malheur d’être solitaire et subit toute la colère de Mina. Il n’en revenait pas que celle-ci connaisse autant d’insultes, elle d’habitude si douce et fragile ruait dans les brancards et cela n’était vraiment pas bon signe. Au final il ne restait plus que les trois nouveaux dans la salle. La fureur de Mina semblait s’être un peu calmer en hurlant sur le morveux quand soudain elle s’assit sans prévenir cherchant à reprendre son souffle.

« C’est pas bon. »

A présent l’inquiétude était bel et bien visible sur son visage. Il se retourna vers Marianne.

« On ferait mieux de se dépècher. Je t’expliquerais tout plus tard mais pour l’instant tu dois me faire confiance. »

Il rejoignit Mina très rapidement et voulu la toucher mais se retint. Qu’arriverait-il si jamais il le faisait, l’attaquerait-elle ? Se fut Marianne qui déposa sa main sur le front recouvert de sueur de Mina. Ces yeux avaient viré au rouge il l’avait remarqué mais préférait l’oublier. Cette dernière rouvrit des yeux vitreux.

« Comment te sens tu ? »

« …….couper….. »

« Merde. »

cela devait arriver bien assez tôt de toute façon. Il se prit la tête et s’ébouriffa les cheveux. Le pire avait été évité, c’était le principal. Il regarda dans la salle. Personne. Il alla fermer la porte qu’il bloqua avec une visse et retourna près des filles.

« Tu voulais savoir. Alors regarde. »

Il se retourna et défit sa veste, laissant apparaître son dos. Marianne devait s’attendre à une cicatrice sans plus or celui ci était complètement mortifié. De nombreuses et longues cicatrices parcouraient leur chemin sur la peau blanche du hunter Chaqu’une d’elles était profonde mais la plus grave se distinguait parfaitement à cause du creux qu’elle dessinait sur quasiment toute la colonne vertébrale. Selon les médecins c’était un véritable miracle qu’il puisse encore marcher, pour d’autre de la chance. Pour lui c’était juste que son heure n’était pas encore venue. Il les fit disparaître très rapidement et se retourna pour regarder droit dans les yeux avec une indifférence glaciale Marianne.

« Je suis tombé du cinquième étage d’un immeuble en passant à travers une bai vitré. Maintenant oublie ce que tu as vu, ou autrement je te pourris l’existence. Et crois moi je ne plaisante pas. »

Il regarda Mina, celle-ci semblait revenir peu à peu à elle.

« Que sais-tu des vampires Marianne ? »

Son visage était triste, sa voie calme et empreinte de remords. C’était la première foie qu’il laissait paraître aussi rapidement ses sentiments. Au total seul deux personnes l’avaient vu dans cet état, Marianne et Mina, bien qu’il eut fallu à Mina énormément de patience et de détermination pour pouvoir traverser cette carapace de fer et de glace.

Sujet: Re: Premier cour...mais cour de quoi? Sam 7 Mar 2009 - 22:27

[ Arg, j'aime pas ça, vous êtes complices tous les deux. Vous savez où vous en allez et pas moi, je le sens.]

« C’est pas bon. On ferait mieux de se dépècher. Je t’expliquerais tout plus tard mais pour l’instant tu dois me faire confiance. »

Je ne savais pas quoi faire; je ne connaissais pas le bien étrange symptôme que Mina avait. Donc je ne pouvais pas agir, et ça m'énervait beaucoup. Mon amie n'allait pas bien, je pourrais dire très mal sans que cela ne soit faux. Je me portai mes doigts à ma bouche et commençai à me ronger les ongles. Je "capotais" et je n'avais pas le choix de le suivre dans ses décisions, car il semblait comprendre ce qui se passait en ce moment, comme si ça lui était déjà arrivé. Le teint pâle, presque blanc, de la fillette m'alarma. Je m'agenouillai auprès d'elle et tendis le dos de ma main vers son front pour évaluer sa température. Elle était très élevée et de sa peau perait des gouttes de sueur.

« Comment te sens tu ? »
« …….couper….. »
« Merde. »

Je n'avais pas entendu ce que Mina avait balbutier, à part le "couper" qui paraîssait très important pour Richy. Son comportement avait encore changé et il était tendu, mais il s'inquiétait vraiment pour ma colègue. Toute mon attention était retenue par celle qui avait partagé avec moi son amitié pendant deux merveilleux jours et qui avait l'air de dépérir devant moi. Je secouai la tête et fermai les paupières. Je cherchai dans mes connaissances ce qui pourrait m'être utile. Les yeux rivés sur ceux bizarrement rouges de la jeune fille, je ne préoccupais guère du Hunter avant qu'il me parle. Sa voix me fit sursauter je je le fixai.

« Tu voulais savoir. Alors regarde. »

Mon regard croisa alors les cicatrices qu'il portait dans son dos. L'une était vraiment affreuse et je me demandai comment il avait fait pour survivre à une telle blessure. J'étais horrifiée par cette vision et préférai détourner la tête avant d'en voir plus. C'était des morsures de fouets qu'il avait, mais je ne pouvais pas le deviner. Je regrettai aussitôt mon attitude peu respectueuse envers le garçon. il avait dû subir diverses blessures, aussi physiquement que mentalement.

« Je suis tombé du cinquième étage d’un immeuble en passant à travers une bai vitré. Maintenant oublie ce que tu as vu, ou autrement je te pourris l’existence. Et crois moi je ne plaisante pas. »

Malgré sa demande, je ne pourrais jamais oublier ce moment. C'est sûr que j'essayerai de ne plus y penser, mais ça resterait gravé dans ma mémoire pour toujours. Pour ce qui est de me gâcher ma vie, je ne l'aurais pas laisser faire. Par contre, j'aurais deviner facilement qu'il ne mentait pas. Mais une seule chose persistait : comment était-il tombé d'ue bâtisse de cinq étages ? Non, mais on s'entend qu'on ne se colle dans dans les vitres, et encore moins qu'on y traîne. Bon, je n'aimais tout simplement pas magasiner, et endore moins faire du lèche-vitrine, mais ça ne comptait pas. Je jetai un coup d'oeil à l'état de Mina.

« Que sais-tu des vampires Marianne ? »

Je m'immobilisai et tournai lentement vers le visage calme et triste du Chasseur. Je me levai tant bien que mal, ne le lâchant pourtant pas de vue. Je tremblais et je sentais les larmes monter. Il avait pris la peine de barrer la porte pour ne pas qu'un éventuel individu ne vienne nous troubler. J'essuyai d'un geste rapide le liquide salé du revers de ma manche gauche, pour ne pas me cogner contre le pieu.

- Pas grand chose. À part qu'ils boivent du sang et ce qu'on raconte dans les films. Je crois qu'ils ne peuvent pas tous transformer quelqu'un en l'un des leurs.

Dis-je la vois vibrante d'émotion. Où Richy voulait-il en venir ?

Invité

(hihi !!! Désolée ma belle on s’est un peu laisser aller. Promis, on va ce calmer. Du moins essayer.)

Mina revenait à elle à présent, sa rage s’était dissipée et elle pouvait de nouveau se remettre sur ses pieds. Le sol tanguait encore un peu mais pas trop. Marianne pleurait, était-ce à cause de la question de Richy ?

*Mais oui bien sur. Le jour de notre arrivée elle m’a parlé de vampires. Je n’ai pas très bien compris ce qu’elle me racontait à ce moment là. Mais depuis quand Richy posait des questions aussi insensées sur les vampires ? Etait-ce possible que ces créatures légendaires existent ?*

Son regard passait de Marianne à Richy puis de Richy à Marianne. Sans obtenir de réponse à sa question silencieuse.

« Dit le lui. Montre le lui Marianne. J’ignore de quoi vous parler et je veux pas le savoir, mais si ça peu vous permettre de mieux vous entendre alors fait-le. »

Pourquoi aucun des deux ne bougeaient, que signifiait tout ceci ? Ce silence la pesait mais aussi le remord et la colère qu’elle éprouvait envers elle-même. Elle ne voulait pas que Marianne la voit dans cet état et pourtant c’était ce que c’était passé. Elle sentait qu’elle allait pleurer et reprit la parole.

« Je vais aller chercher mon uniforme et aller me changer. Je risque de ne pas passer inaperçu si je reste habiller comme ça. »

Elle prit le chemin de la porte avec une démarche lente mais assurée, enleva le clou et sortit. Arrivée dans le couloir elle courut aussi vite qu’elle le put. Mais cette fois si on ne l’entendait pas, on aurait même dit qu’elle volait.

Invité

Il préférait garder le silence et regarder le sol plutôt que croiser le regard interrogateur de Mina. Il était soulager de la voir "rétablie" après tout c’était de sa faute si elle se retrouvait dans cet état. Non c’était la faute des vampires, pas la sienne. Mon dieu comme il se dégoûtait lui-même. C’était si simple de rejeter la faute sur les autres. Il comprenait mieux les hommes à présent. On se mentait à soit même pour réussir à mieux vivre. Lorsque Mina sortit de la pièce il rattrapa par le bras Marianne qui semblait vouloir la suivre.

« On doit parler. C’est assez important. »

Il releva les yeux qui cette fois ne semblaient pas sourire, en gros ils étaient vide de sentiments mais pas complètement pour autant.

« Tu en sais plus que tu veux le faire croire j’en suis sur à présent. La façon dont tu as gardé le silence avec Mina me le confirme. Je sais pas ce qui t’a prit de lui en parler. En faite si, j’ai ma petite idée sur ce sujet mais bon. Cela remonte à combien de temps, cette morsure ? »

Il regarda la porte encore entrouverte. Cette fois si Mina n’avait fait aucun bruit. Il aurait donné son âme au diable pour prétendre qu’elle était partit en courant.

« Elle doit être loin à présent. Si jamais tu pars à sa recherche que feras-tu ? Tu chercheras à la consoler sans succès puisque tu ne sais rien de son passé. Parfois il faut mieux laisser les gens seuls. Alors discutons. »

Il laissa un certain temps pour ordonner ses idées. Par ou devait-il commencer ? La mort de sa mère ? Le jour ou il était devenu hunter ? L’apparition de Mina dans sa vie ? Ce qu’elle avait subit ? Sa façon de voir les choses ? Son besoin de faire souffrir les gens autour de lui ? La double personnalité de Mina ? Il n’en savait trop rien mais il devait être sur à 300 pour 100 qui Marianne ne lui cachait rien au sujet de sa connaissance sur les vampires.

« Si tu veux, on peut marcher tout en discutant. L’air nous fera du bien à tous les deux. Alors raconte. Je ne suis pas idiot au point de ne pas comprendre que la ‘caractéristique’ de tes yeux provient d’une morsure de vampire. »

(Désolé que le message soit si court. Mais j’ai pas vraiment d’inspiration.)

Sujet: Re: Premier cour...mais cour de quoi? Lun 9 Mar 2009 - 16:41

[ Suite ici !

https://blood-ch.forumsrpg.com/jardin-central-f22/si-on-le-voulais-bien-pv-richy-kimihiro-suite-t483.htm#5956

Mina, je ne savais pas si tu voulais continuer avec nous, alors tu peux quand même venir si ça te chante ]

» Zut, mais qu'est-ce qui lui arrive encore... ?!
» Akino s'en va...Mais elle va revenir ! x'D
» Premier jour, première rencontre (PV Yuuki)